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Übersetzung im Verlauf
Im
Jahre 1629, vor der Pest, die das Dorf verwüstete, beschlossen
die Einwohner von Chiroubles eine Kapelle zu erbauen.
Der Priester, benennt Mestrat, erfordete die Einwohner den Weilen
"Javernand" "Dufêtre" und "Les Saignes", eine Kapelle am Ort
"Javernand" zu erbauen. Wegen der Ansteckung, war er gezwungen worden,
sein Pfarrhaus zu verlassen und am Dorf Dufêtre Zuflucht zu
finden.
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Nach :
- Archive und Antiquitäten durch den Priester Vache Missionar
des Kartäusermönches Haus im Lyon - 1899 - Chiroubles
vor 1789 - Dorf und Pfarrgemeinde im Beaujolais,Hauptpfarrer von
Vauxrenard, Diözese von Lyon : Mr le
Prévôt de St Pierre de Macon nommé
à la cure.
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"Le jour et fêté
l'Assomption et y célébra le Sainte Messe et
incontinent après, la maladie cessa au lieu-dit Chiroubles".
La chapelle avait été
édifiée par Pierre Depardon et Philibert
Dufestre, maçon et charpentier de Chiroubles, les habitants
ayant fourni les matériaux et leur ayant donné 16
livres pour leurs journées. Les habitants étaient
Benoît Durand dit " Desvignes ", Vincent Depardon consort,
Antoine Bailly, Catherine Durand dit " Dufestre ", Catherine fille de
feu Etienne Pertinant, Pierre Ducoté, Claude Teillard,
François Durand, Claude Gautier dit " Bailly ", Vincent
Crotte, Claude Durand dit " Dufestre " et Benoît Bernachon,
habitants aux dits villages de Javernand, des Saignes, et
Dufêtre. Procès verbal établi le 23
décembre 1629 par Blondel, notaire royal paraphé
par Benoît Dupont de Chiroubles et Antoine Desvignes,
laboureur de Villié, témoin. En 1791 la chapelle
est mise en vente comme bien national. Après plusieurs
pétitions de descendants des propriétaires,
faisant valoir qu'aucune prébende (revenu attaché
à un titre ecclésiastique)
ecclésiastique n'y étant attachée ; le
Directoire, dérogeant son arrêté du 23
avril dernier arrête : " que la chapelle St Roch,
située au lieu de Javernand, paroisse de Chiroubles est et
demeure distraite en faveur des nommés dans l'article du 23
décembre 1629, ou à leurs ayants-droits, pour par
eux et en jouir comme chose leur appartenant ; en
conséquence la chapelle ne sera pas comprise dans la vente
des Biens nationaux de ce département. A l'effet de quoi,
elle sera rayée de tout tableau où elle aurait pu
être portée. Fait en directoire à Lyon
le 4 juin 1792, l'an IV de la Liberté. Signé
Roucher, Janson / président Tariot, Lecour. Si l'ancien
autel était en bois, celui actuel est l'ancien autel de
l'ancienne église, mis dans cette chapelle à sa
démolition. Le clocheton a été
rajouté vers 1792, date figurant sur la poutre de ce
clocheton. |
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